Comparaison entre avions de chasse européens et américains : usages et influence

Les avions de chasse constituent des outils essentiels pour les armées modernes. Leur rôle ne se limite pas à la défense aérienne : ils participent aussi à la diplomatie et aux échanges économiques. Les modèles conçus en Europe et aux États-Unis reflètent des approches variées, en fonction des priorités stratégiques et des capacités industrielles des pays. Malgré leurs différences, leur objectif principal reste de garantir la supériorité aérienne et de soutenir des missions variées.

Les États-Unis produisent des appareils comme le F-35, le F-22 et le F-15, qui sont parmi les plus demandés sur le marché mondial. Le F-35, par exemple, est utilisé par des alliés clés comme le Japon, le Royaume-Uni ou l’Australie. Avec un coût supérieur à 80 millions d’euros par avion, ce modèle inclut des systèmes de maintenance avancés et des mises à jour régulières, Boeing X-53 Aaw ce qui le rend attractif pour des opérations à long terme. Ces ventes soutiennent non seulement l’industrie américaine, mais aussi l’influence des États-Unis auprès de leurs partenaires.

En Europe, des modèles comme le Rafale, l’Eurofighter Typhoon et le Gripen suédois se distinguent par leur polyvalence. Le Rafale, développé par la France, est vendu environ 70 millions d’euros par unité. Le Gripen, plus abordable, coûte en moyenne 50 millions d’euros. Ces appareils sont appréciés pour leur capacité à s’adapter à divers types de missions, allant des combats aériens aux frappes tactiques. Ils sont souvent choisis par des pays souhaitant équilibrer coûts et performances.

Les accords de vente d’avions de chasse incluent souvent des partenariats industriels et des transferts de compétences. Les constructeurs américains, comme Lockheed Martin, imposent fréquemment des conditions strictes d’utilisation ou des restrictions à la revente. Cette approche garantit une certaine dépendance stratégique des clients. Les constructeurs européens, en revanche, mettent l’accent sur la flexibilité et des solutions adaptées aux besoins des acheteurs.

Ces appareils jouent aussi un rôle dans la politique étrangère. Les États-Unis utilisent leurs exportations pour consolider des alliances. Les ventes de F-35 à Israël ou à la Corée du Sud en sont des exemples, ces livraisons renforçant des partenariats dans des régions géopolitiques stratégiques. De leur côté, les pays européens comme la France établissent des relations solides avec des acheteurs tels que l’Inde ou l’Égypte grâce à des contrats pour le Rafale.

Sur le plan industriel, les États-Unis dominent le marché mondial en termes de production. Lockheed Martin, constructeur du F-35, a enregistré plus de 3 000 commandes à ce jour. Les avions européens, bien que produits en moindre quantité, conservent leur attractivité. Par exemple, le Rafale est souvent choisi par des pays souhaitant diversifier leurs fournisseurs, tandis que le Gripen séduit les États à budget restreint comme la Hongrie et le Brésil.

Les approches militaires des deux continents reflètent des priorités budgétaires différentes. Avec un budget de défense annuel dépassant 800 milliards d’euros, les États-Unis investissent dans des appareils conçus pour des conflits majeurs et des interventions globales. Les nations européennes, aux budgets plus modestes, privilégient des chasseurs polyvalents capables d’opérer efficacement au sein d’alliances telles que l’OTAN. Ces choix influencent les technologies adoptées, qu’il s’agisse de systèmes furtifs ou d’armements avancés.

Les transactions liées aux avions de chasse sont également influencées par des facteurs géopolitiques. Par exemple, la Turquie a été exclue du programme F-35 après l’achat de systèmes de défense russes. Dans ce contexte, les avions européens offrent une alternative pour des pays souhaitant éviter une dépendance excessive envers les États-Unis. Ces appareils sont souvent perçus comme des options stratégiques par des acheteurs cherchant à maintenir leur autonomie.

Les avions de chasse, qu’ils soient européens ou américains, incarnent des approches différentes des enjeux militaires et économiques. Les États-Unis dominent le marché en volume et en influence, tandis que les constructeurs européens se démarquent par leur capacité à répondre à des besoins spécifiques. Cette diversité dans l’offre assure un équilibre sur le marché mondial, permettant aux forces aériennes de choisir en fonction de leurs priorités.

Les Enjeux Éthiques de la Recherche sur le Cerveau

Le développement rapide des technologies liées à la recherche sur le cerveau a ouvert la voie à des avancées médicales prometteuses pour traiter des affections neurologiques graves, mais il a également soulevé des questions éthiques complexes. Saskia Hendriks, bioéthicienne aux National Institutes of Health (NIH) des États-Unis, aborde ces questions dans une interview où elle discute des dilemmes soulevés par les implants cérébraux, la vie privée mentale, et la conscience potentielle des organoïdes.

Les Implants Cérébraux et la Responsabilité Éthique

L’un des exemples hypothétiques abordés par Hendriks concerne un patient paralysé, nommé M. P., qui reçoit un implant cérébral lors d’un essai clinique, lui permettant de retrouver une certaine mobilité. Cependant, lorsque l’implant cesse de fonctionner après la faillite de l’entreprise qui l’a développé, le patient se retrouve sans possibilité de le remplacer, soulevant ainsi la question de la responsabilité post-traitement. Hendriks souligne que, bien qu’il n’existe pas de cadre légal obligeant les chercheurs ou les entreprises à fournir un soutien à long terme, il est crucial d’envisager les implications éthiques de ces situations. Le maintien de tels implants nécessite un suivi constant, et l’absence de soutien peut entraîner des défis importants pour les patients.

Elle propose que, dans la plupart des cas, les patients devraient avoir le droit de conserver ces dispositifs, surtout s’ils en tirent des bénéfices significatifs et n’ont pas d’autres alternatives de traitement. Toutefois, elle reconnaît que cette approche pourrait décourager les entreprises de mener des essais cliniques en raison des responsabilités accrues, ce qui pourrait freiner l’innovation dans ce domaine.

La Vie Privée Mentale et les Risques de la Décodage de la Pensée

Un autre dilemme éthique discuté par Hendriks concerne les technologies de décodage de la pensée, qui pourraient potentiellement aider les personnes atteintes d’aphasie, mais qui posent également des menaces pour la vie privée mentale. Actuellement, ces technologies ne sont pas capables de lire les pensées directement, mais elles peuvent interpréter les signaux du cortex moteur pour déduire les intentions motrices. Hendriks s’inquiète du fait que, si ces technologies venaient à évoluer, elles pourraient être utilisées pour analyser des données cérébrales recueillies à d’autres fins, soulevant des questions sur la confidentialité et l’utilisation non consensuelle de ces informations.

Elle recommande de réfléchir soigneusement à la nature des recherches à entreprendre et aux protections nécessaires pour garantir que les participants à ces études ne soient pas exposés à des violations de leur vie privée mentale.

Les Organoïdes Cérébraux et la Conscience Potentielle

Le dernier dilemme porte sur la possibilité que des organoïdes cérébraux, des structures cellulaires dérivées de cellules souches qui imitent partiellement le développement du cerveau humain, puissent un jour développer une forme de conscience. Bien que la science actuelle ne permette pas d’affirmer que ces organoïdes puissent atteindre un tel niveau de conscience, certains chercheurs estiment que cette possibilité ne peut être totalement exclue à l’avenir. Si une telle conscience émergeait, même à un niveau rudimentaire, cela poserait des questions morales sur la manière de traiter ces entités.

Hendriks plaide pour l’élaboration de lignes directrices claires pour la recherche sur les organoïdes, incluant des points de contrôle pour évaluer les signes de conscience ou de sensibilité, et des protocoles d’information et de consentement pour les donneurs de tissus utilisés dans ces recherches.

Conclusion : Une Intégration Nécessaire de l’Éthique et de la Science

L’interview de Hendriks met en lumière les défis éthiques émergents dans le domaine de la recherche sur le cerveau, où les avancées scientifiques rapides nécessitent une réflexion éthique approfondie pour éviter des conséquences involontaires sur les patients et la société. Elle appelle à une intégration plus étroite entre la science et l’éthique pour garantir que les progrès technologiques servent véritablement le bien commun, tout en protégeant les droits et la dignité des individus impliqués.

Bricoler sa déco: une tendance

L’essor de la décoration d’intérieur bricolée est un phénomène culturel et économique important qui s’est développé au cours des deux dernières décennies. Avec l’avènement des médias numériques, l’amélioration de l’accès aux sources et l’évolution des actions des consommateurs, le bricolage en décoration intérieure est passé d’un intérêt de niche à une tendance bien connue. Cet essai explore les facteurs de croissance du bricolage en décoration d’intérieur, ses implications dans l’industrie de la conception professionnelle, tenture murale ainsi que les perspectives d’avenir de ce secteur en plein essor.

Dans le passé, la décoration d’intérieur était un service accessible principalement aux personnes aisées, les experts s’occupant de tout, de l’aménagement de l’espace à la sélection des matériaux. Cependant, la fin du 20e siècle a été marquée par un changement. Des facteurs économiques tels que la crise pétrolière des années 1970 et les récessions qui ont suivi ont conduit de nombreuses personnes à revoir leurs dépenses. Simultanément, l’essor de la culture du client et de la presse de masse a commencé à démocratiser l’information sur la décoration d’intérieur. Les magazines et les émissions de télévision ont commencé à proposer des conseils pour embellir les maisons de manière abordable et individuelle, jetant ainsi les bases de votre activité de bricolage.

L’internet a joué un rôle déterminant dans la croissance de la décoration d’intérieur à faire soi-même. Des programmes tels que Pinterest, Instagram et YouTube fournissent non seulement une inspiration sans fin, mais proposent également des cours qui permettent aux individus de réaliser des projets eux-mêmes. Ces programmes ne sont pas seulement une source d’inspiration ; ils offrent également un aspect de voisinage où les amateurs de bricolage peuvent partager des projets et des conseils, ce qui renforce encore le charme de la décoration à faire soi-même.

La vente au détail sur l’internet a également joué un rôle crucial. La possibilité d’acheter des matériaux en ligne depuis n’importe où dans le monde permet de se procurer plus facilement et souvent à moindre coût les outils et les décorations nécessaires, ce qui fait tomber les anciennes barrières à l’entrée dans la décoration intérieure.

Le bricolage en matière de décoration d’intérieur continue de se développer pour devenir un secteur économique considérable. Il stimule une large gamme de produits, allant des produits artisanaux de base aux matériaux d’amélioration de l’habitat haut de gamme. Les géants de la distribution tels que Home Depot et Lowe’s ont bénéficié d’avantages significatifs, en élargissant leur gamme de produits et en organisant des ateliers pour tirer parti de la tendance. L’attrait financier des projets de bricolage est considérable, en particulier en période de récession économique, lorsque les propriétaires risquent de renoncer aux services d’un expert au profit de rénovations plus respectueuses de leur budget.

Le mouvement « Do it yourself » s’aligne bien sur les diverses tendances interpersonnelles et ethniques contemporaines. Les préoccupations environnementales ont stimulé l’intérêt pour le recyclage et l’utilisation de matériaux durables, que les projets de bricolage intègrent souvent. En outre, l’exposition accrue de l’individualisme et de l’expression privée trouve un débouché électrique parfait dans la décoration d’intérieur Do-it-yourself, où les individus peuvent créer des espaces qui révèlent vraiment leur personnalité et leurs valeurs.

Bien que certains puissent prétendre que l’augmentation de la décoration d’intérieur à faire soi-même pourrait nuire à l’industrie du design spécialisé, elle a plutôt élargi l’intérêt et l’appréciation du design en permanence. Les spécialistes sont de plus en plus considérés comme des collaborateurs ou des professionnels, en particulier pour les rénovations plus importantes ou plus compliquées qui peuvent encore intimider le propriétaire moyen.

À l’avenir, les technologies sont appelées à jouer un rôle encore plus important dans le bricolage de la décoration intérieure. Les applications de réalité augmentée (RA) qui permettent aux gens de visualiser les changements dans leur maison avant de s’y engager sont de plus en plus sophistiquées. En outre, la tendance à l’automatisation personnalisée dans la décoration intérieure, où les projets de bricolage peuvent inclure des éléments tels que des lumières intelligentes, est en hausse.

Le bricolage en matière de décoration intérieure n’est pas seulement une mode ; c’est un phénomène culturel et économique robuste qui reflète des changements interpersonnels et des développements technologiques plus larges. Il renforce l’autonomie des individus, stimule l’activité économique et améliore notre paysage ethnique. À mesure que la technologie continue d’évoluer et que les habitudes des consommateurs se modifient, la décoration d’intérieur à faire soi-même est susceptible de s’étendre encore davantage, remodelant continuellement son rôle et son importance dans la culture moderne.

Nous devons construire une économie plus humaine

Dans les années 1800, les universitaires du domaine de l’économie jetaient un regard envieux à leurs collègues des sciences.
Ils enviaient la physique, avec ses lois de la gravité. Ils ont regardé avec des yeux verts ceux qui étudient la chimie, avec ses éléments et ses atomes. Et ils admiraient avec envie leurs copains biologistes avec leurs catégorisations et leur adaptation évolutive.
Aujourd’hui, plus d’un siècle plus tard, alors que nous entamons la troisième décennie du troisième millénaire, l’économie ne semble plus tenir compte de la science, et encore moins s’en remettre aux réalités scientifiques.
Ce sont les économistes (invariablement traditionnels) avec leurs affirmations et leurs angles morts qui motivent tant l’élaboration des politiques, et non les scientifiques avec leurs modèles et prévisions fondés sur des preuves.
Les tables ont bel et bien tourné. Et cela n’est nulle part aussi douloureusement – et douloureusement – aigu qu’en Australie en été 2019 et 2020.
Les feux de brousse font rage à travers le pays, alimentés par une chaleur record, et traversent maintenant des hectares de terres arides plus sèches que jamais après la pire sécheresse depuis une génération.
En réponse, le Premier ministre australien s’est fermement attaché à l’idée qu’une économie en croissance est la seule option. Il a déclaré à une chaîne de télévision nationale que « ce que nous ne ferons pas, c’est nous engager dans des objectifs verts imprudents et destructeurs d’emplois et de crise économique qui sont recherchés ».
Ce que Morrison affirme effectivement, c’est que l’économie importe plus que la science – en fait, qu’un certain modèle de l’économie est plus important, un modèle dans lequel le seul but de l’environnement est de contribuer à la production et où l’on suppose que la croissance se traduira par des avantages pour tous. Cela positionne l’économie au sommet de la chaîne alimentaire, laissant tomber les miettes aux communautés et extrayant de la planète plutôt que quelque chose qui dépend de la société qui fonctionne comme un sous-ensemble du monde naturel.
Croire que la prééminence de l’économie mérite de minimiser toutes les autres préoccupations est un état d’esprit qui rejette des tas de preuves scientifiques et d’avertissements. Cela tourne les yeux vers les raisons pour lesquelles on dit aux communautés de s’abriter sur les plages, pourquoi la marine australienne est amenée pour les sauver et pourquoi un tout-petit a reçu une médaille pour honorer à titre posthume son père pompier qui a été tué avec deux autres volontaires  » firies »(comme nous les appelons affectueusement les Australiens) quand un arbre est tombé sur leur véhicule.
Ce qui se passe en Australie est sans précédent
C’est ce que les scientifiques ont prévenu qu’il arriverait.
Ce sera la nouvelle norme.
Peut-être plus important encore, c’est le réveil le plus fort que mère nature puisse envoyer à l’humanité pour nous dire que les blessures que nous lui avons infligées font des ravages intenables.
Plusieurs fois dans le passé, j’ai entendu ceux qui plaident pour un nouveau modèle économique dire que lorsqu’une «  crise  » survient, le mouvement pour une économie plus humaine doit être prêt avec des idées et des visions, car c’est à ce moment-là que ces idées prendront finalement de l’ampleur. . Cette tactique a toujours secoué – cela semblait une perspective plutôt privilégiée qui ignorait ou ignorait que pendant de nombreuses années, de nombreuses personnes à travers le monde souffraient déjà des impacts d’un modèle économique qui traitait les gens et la planète comme des intrants de production. Mais, certes, un tel manque apparent de solidarité ou d’empathie est peut-être venu avec une véritable politique. Il reconnaît – peut-être implicitement – les déséquilibres de pouvoir.
Et bon nombre de ceux touchés par les incendies australiens sont puissants. Beaucoup sont riches. Beaucoup sont des personnes qui ont bénéficié du modèle économique de croissance parce qu’elles sont perchées au sommet de la pile. Les maisons côtières des banquiers, des médecins et des promoteurs immobiliers ont été détruites. Les fêtes du Nouvel An ont été déplacées des balcons avec leur vue sur le port à l’intérieur pour échapper à la fumée. Les matchs de cricket sponsorisés par les entreprises ont été annulés car la visibilité était devenue trop mauvaise. Oui, ce sont les gens qui ont les ressources nécessaires pour faire face et récupérer, mais peut-être qu’ils aideront à équilibrer l’équilibre de la conversation.
Alors que l’Australie continue de brûler, nous pouvons espérer que ce que la plupart des Australiens ont reconnu sera enfin respecté: que ce monstrueux appel à l’aide de la planète est ce qui fait reculer l’agenda, de sorte que l’économie retourne à sa déférence et à sa crainte. science. Que les lois scientifiques et naturelles l’emporteront sur les rêves douteux de ruissellement. Que maintenant que des gens riches et puissants sont également touchés par la fureur de la nature, ils rejoindront les rangs des communautés de première ligne à travers le monde et prêteront leurs voix et leurs ressources pour se mobiliser pour la transition que des pays comme l’Australie doivent faire vers une économie qui respecte la planète et priorités la justice sociale et un environnement sain.
La construction de ce nouveau modèle économique n’a pas besoin d’être perturbatrice – elle peut et doit être juste. Il existe des moyens et des ressources pour protéger les moyens de subsistance et, mieux encore, pour garantir que les personnes les plus gênées par le modèle économique actuel soient les premières servies. Mais il ne peut plus être considéré comme «imprudent» pour protéger un secteur – le charbon – au prix de tant de maisons, de poumons, de biodiversité et d’une faune précieuse.
Nous espérons que 2020 sera l’année où de nouvelles alliances se réuniront pour reconnaître que cette crise nous touche tous, et qu’une économie plus humaine et plus douce sur la planète en sera une qui sera bonne pour tout le monde.
Lecteurs, j’ai vu un correspondant qualifier mes vues de cyniques réalistes. Permettez-moi de les expliquer brièvement. Je crois aux programmes universels qui offrent des avantages matériels concrets, en particulier à la classe ouvrière. Medicare for All en est le meilleur exemple, mais un collège sans frais de scolarité et une banque des postes relèvent également de cette rubrique. Il en va de même pour la garantie de l’emploi et le jubilé de la dette. De toute évidence, ni les démocrates libéraux ni les républicains conservateurs ne peuvent mener à bien de tels programmes, car les deux sont des saveurs différentes du néolibéralisme (parce que les marchés »). Je ne me soucie pas beaucoup de l’isme »qui offre les avantages, bien que celui qui doit mettre l’humanité commune en premier, par opposition aux marchés. Cela pourrait être un deuxième FDR sauvant le capitalisme, le socialisme démocratique en train de le lâcher et de le coller, ou le communisme le rasant. Je m’en moque bien, tant que les avantages sont accordés. Pour moi, le problème clé – et c’est pourquoi Medicare for All est toujours le premier avec moi – est les dizaines de milliers de décès excessifs dus au désespoir », comme le décrivent l’étude Case-Deaton et d’autres études récentes. Ce nombre énorme de corps fait de Medicare for All, à tout le moins, un impératif moral et stratégique. Et ce niveau de souffrance et de dommages organiques fait des préoccupations de la politique d’identité – même le combat digne pour aider les réfugiés que Bush, Obama et les guerres de Clinton ont créé – des objets brillants et brillants en comparaison. D’où ma frustration à l’égard du flux de nouvelles – actuellement, à mon avis, l’intersection tourbillonnante de deux campagnes distinctes de la doctrine du choc, l’une par l’administration, et l’autre par des libéraux sans pouvoir et leurs alliés dans l’État et dans la presse – un un flux de nouvelles qui m’oblige constamment à me concentrer sur des sujets que je considère comme secondaires par rapport aux décès excessifs. Quel type d’économie politique est-ce qui arrête, voire inverse, l’augmentation de l’espérance de vie des sociétés civilisées? J’espère également que la destruction continue des établissements des deux partis ouvrira la voie à des voix soutenant des programmes similaires à ceux que j’ai énumérés; appelons ces voix la gauche. » La volatilité crée des opportunités, surtout si l’establishment démocrate, qui place les marchés au premier plan et s’oppose à tous ces programmes, n’est pas autorisé à se remettre en selle. Les yeux sur le prix! J’adore le niveau tactique, et j’aime secrètement même la course de chevaux, car j’en parle quotidiennement depuis quatorze ans, mais tout ce que j’écris a cette perspective au fond.

un hiver à grande vitesse: récit d’une randonnée en motoneige

Parcourir les collines enneigées parfaites sur une motoneige était une expérience qui dépassait la simple aventure ; c’était un voyage dans un monde de beauté palpitante et d’indépendance revigorante. La journée a commencé sous un ciel azur très clair, alors que la lumière du soleil projetait son poids doré sur l’étendue infinie de couleur blanche. L’air était vif et frais, teinté de l’arôme des pins et d’un subtil parfum d’hiver.

Alors que nous nous préparons, que nous enfilons nos combinaisons de protection et nos casques, un sentiment de plaisir est palpable. Nous nous apprêtons à partir en voyage sur l’un des plus beaux terrains de jeu de la nature. Les motoneiges, grâce à leurs moteurs puissants et à leur conception moderne, se tiennent prêtes, où faire de la motoneige en France comme des chevaux impatients de galoper vers la nature sauvage.

Dès que les moteurs se sont mis à rugir, on a eu l’impression de réveiller la montagne elle-même. Le son a résonné dans les vallées, introduisant notre présence. Lorsque nous sommes partis, la neige sous les traîneaux s’est agitée et a volé, créant une traînée brumeuse juste derrière nous. La sensation de vitesse était grisante, un mélange parfait d’énergie et de sophistication.

Les pistes que nous avons traversées étaient un mélange de zones ouvertes, où la neige s’étendait comme une toile vierge, et de forêts denses, où les arbres et les arbustes se dressaient haut et stoïques, leurs membres lourds de neige. Dans les carrières ouvertes, les motoneiges glissaient sans effort, laissant une traînée tourbillonnante. Nous avions l’impression de voler, le vent froid nous mordant le visage, tout en étant revigorant par son intensité.

Lorsque nous avons rejoint la forêt, le paysage s’est transformé. La lumière s’estompait, filtrée par l’épaisse canopée mentionnée précédemment. Le sentier est devenu plus étroit, serpentant entre les arbustes, traversant des ruisseaux gelés ou des pentes plus raides. Il s’agissait d’un examen d’habileté, qui consistait à manœuvrer les motoneiges avec précision. Le plaisir de franchir ces obstacles était sans égal, chaque transformation et chaque saut témoignant des capacités de la machine et de notre propre dextérité.

L’un des moments les plus étonnants est arrivé lorsque nous sommes parvenus à nettoyer le sommet. La vue était panoramique, une immense étendue de montagnes et de vallées s’étendait à l’horizon. Le soleil était à son zénith à ce moment-là, jetant une lueur radieuse sur la neige, la faisant scintiller comme une mer de pierres précieuses. Nous nous sommes arrêtés là, moteurs au ralenti, émerveillés par le spectacle qui s’offrait à nous. Le silence était profond, rompu seulement par le doux murmure du vent qui soufflait. C’était une minute de sérénité, un contraste frappant avec le trajet chargé d’adrénaline.

Alors que nous reprenions notre voyage, nous avons rencontré des pentes qui offraient un nouveau type d’excitation. La descente de ces pentes était une danse avec la gravité, un glissement contrôlé qui nous donnait des frissons d’excitation. Les motoneiges s’en chargeaient avec facilité, leurs chenilles s’agrippant aux chutes de neige, ce qui nous permettait de glisser à une vitesse exaltante.

Tout au long du trajet, la relation entre l’homme et l’engin s’est renforcée. Les motoneiges n’étaient pas seulement des véhicules ; c’étaient des compagnons, qui répondaient à chacune de nos commandes, révélant notre plaisir et notre excitation. Le sentiment d’être seul avec la machine, relié à l’accélérateur et à la direction, était puissant.

À la fin de l’après-midi, nous nous sommes retrouvés dans une vallée où la neige était épaisse et intacte. C’était pour nous un terrain de jeu où nous pouvions apprendre, tracer nos chemins et laisser notre empreinte. Nous avons fait la course, nous avons tourné, nous avons ri – la joie était débridée. La neige volait autour de nous comme un tourbillon, une fête de la flexibilité et de la vie.

Mais toutes les aventures ont une fin. Lorsque la lumière du soleil a commencé à descendre sous les sommets, projetant de longues ombres dans le paysage, nous savions qu’il était temps de reprendre le chemin du retour. Le voyage de retour est une occasion de réfléchir, de revivre les activités de la journée, d’être vraiment reconnaissants de la beauté que nous avons vue et de l’exaltation que nous avons ressentie.

Lorsque nous avons atteint notre point de départ, les moteurs se sont tus et un sentiment de plénitude nous a envahis. Nous nous sommes embarqués au cœur des collines, nous nous sommes mis au défi et nous sommes repartis avec des souvenirs qui nous accompagneront toute notre vie.

Ce voyage en motoneige était plus qu’une simple excursion dans les montagnes ; c’était une célébration de la majesté de la nature, un témoignage de l’ingéniosité et de l’esprit de l’homme. C’était un voyage qui a saisi l’essence de la liberté et le plaisir de l’exploration. En y repensant, je reconnais que cette rencontre était loin d’être le plaisir de rouler ; il s’agissait d’une quête de l’esprit, d’une expérience de la beauté crue et débridée du monde naturel. C’était vraiment, vraiment, une grande randonnée dans les montagnes.

Questions de vote

La première, et cela devrait faire l’objet d’un article beaucoup plus long, est que le gerrymandering est plus une affaire à deux que les démocrates ne l’auraient cru. L’un de mes collègues, à l’école supérieure à la fin des années 1980, avait parmi ses camarades de classe un ancien membre du personnel de La Raza, qui en 2017 a été rebaptisé UnidosUS. Son travail principal consistait à créer des circonscriptions majoritaires-minoritaires pour faire élire davantage d’hispaniques. Ses principaux alliés dans cet effort étaient les républicains, qui étaient ravis de créer plus de quartiers blancs / riches qui seraient des blocages pour eux.
Le politologue Tom Ferguson a confirmé que cette thèse était correcte. La fragmentation politique des Américains sur des bases ethniques a donc été vivement encouragée par les deux parties depuis des décennies.
Deuxièmement, comme Lambert le dit régulièrement, si les démocrates se souciaient des tactiques républicaines de suppression des votes, ils considéreraient l’inscription des électeurs comme une activité continue, par opposition à quelque chose qu’ils font de manière bâclée près des élections. Mais leur véritable intérêt se situe dans les 10% supérieurs, et s’ils devaient devenir indûment dépendants de leur base régulièrement maltraitée, ils devraient en faire plus pour eux.
Le troisième est de ne pas penser que les démocrates ne jouent pas mal, mais ils semblent jouer le plus sale dans les primaires, comme le suggèrent les nombreuses formes de manigances contre Sanders dans la primaire californienne. Regardez ce documentaire avec de nombreux comptes rendus des enquêteurs si vous avez des doutes.
Par Michael Olenick, chercheur à l’INSEAD qui écrit régulièrement à Olen on Economics
Je vis en Europe et j’ai de temps en temps le malheur d’expliquer aux Européens le système électoral américain. La façon dont la majorité américaine vote pour les centristes ou les gauchistes est particulièrement déconcertante et se retrouve plutôt avec des fanatiques de droite.
Cela évoque un souvenir particulièrement affreux, la nomination du roi George W. Bush. Les gens se souviennent où ils se trouvaient lors d’événements spécifiques de la vie: j’étais dans un vestiaire de gymnase, en Californie, avec un groupe d’hommes énervés qui regardaient la télévision annoncer le coup d’État de la Cour suprême.
Depuis lors, les choses n’ont fait qu’empirer.
En 2012, 58,2 millions d’Américains ont voté républicain pour la Chambre des représentants des États-Unis et 59,6 millions pour les démocrates. Malgré la préférence évidente, les républicains ont gagné, remportant 234 sièges pour les démocrates 201.
Ils ont généré plus d’excuses pour l’extrémisme que de votes – les États-Unis sont une République! » (peu importe que ce soit une république démocratique) – et gouverné de la droite dure. Apaisant leurs donateurs et leurs électeurs découragés, ils ont prétendu, comme George W. Bush, que leur victoire minoritaire portait un mandat.
Les démocrates ont fait trembler les républicains au Sénat cette année-là, remportant 50 millions de voix contre les républicains 39,1 millions, et se sont accrochés au Sénat avec 55 sièges (dont deux indépendants qui votent démocrates) aux républicains 45. Bien sûr, les abus de flibustier – vous vous souvenez du flibustier d’avant la dernière élection, non? – annulé l’effet neutralisant les démocrates du Sénat une fois que Scott Brown avait gagné le Massachusetts. Eh bien, ou peut-être neutre, puisque les républicains ne se sont jamais inquiétés de l’obstruction systématique avec seulement 52 sièges après les dernières élections.
Les républicains ont remporté véritablement les élections de 2014 de 24,6 millions à 20,9 millions, leur accordant le contrôle du Sénat 54-46.
Puis vint le cher chef Donald, avec sa victoire de -2,9 millions de voix. »
Je ne prétendrai pas que les démocrates n’ont pas permis une grande partie de cela. Bill Clinton a présidé à l’érosion et à l’abrogation éventuelle de Glass-Steagall et, plus important encore, à l’adoption de la Commodity Futures Modernization Act de 2000. Ses politiques favorables aux banques ainsi que l’ALENA et le goût de la déréglementation ont servi de politiques d’érosion de la classe moyenne, masqués par la bulle Internet, qui s’est intensifiée sous Bush.
Et bien que Hillary ait remporté plus de votes que Trump, elle a quand même réussi à perdre légitimement au collège électoral contre Donald Trump. Et sa victoire au vote populaire est entièrement due à sa marge de victoire en Californie. Contrairement à Gore, qui s’est fait voler la victoire par une cabale d’escrocs, Trump a vraiment remporté le collège électoral même s’il ne devrait pas exister.
Tout cela m’amène à Arion Golmakani. J’ai rencontré Arion dans, de tous les endroits, le puisard normal d’une zone de commentaires Facebook. Écrivant sur la dernière défaite de la démocratie américaine, la répugnante course de Virginia House où les républicains ont récemment gagné le contrôle, il a écrit Pour la première fois, je suis en mesure de prouver à mon fils millénaire que son vote aurait eu de l’importance. S’il m’avait écouté et voté avec nous ce jour-là. »
Pour ceux qui ont fait attention à autre chose, revenons brièvement. Virginia a tenu des élections le 7 novembre 2017. Les républicains ont été bombardés, récoltant 1 million de voix contre 1,3 million de démocrates, soit un peu moins de dix pour cent. Étant des tricheurs dont le dédain pour la démocratie correspond presque à leur soif de pouvoir, cela se traduit en quelque sorte par un lien.
Tout d’abord, le républicain a remporté le district décisif par quelques voix. Lors d’un recomptage, le démocrate a gagné par une voix. Un juge a jugé un bulletin de vote vague et l’a remis au républicain. Cela a entraîné un tirage au sort que le républicain a également remporté, ouvrant la voie aux républicains pour conserver le pouvoir avec leur victoire de -10 points. » Nul doute que les trompettistes se délecteront de leur victoire et proclameront un mandat.
C’est dans ce marécage que le fils millénaire d’Arion, qui aurait vraisemblablement voté démocrate, est tombé.
Honnêtement, il est difficile de blâmer l’enfant. Dans une interview par e-mail, Arion souligne que son fils était plus concentré sur les problèmes que les politiciens individuels parce que, avouons-le, la plupart des politiciens sont des serpents. Voter pour un politicien qui soutient l’enseignement supérieur serait synonyme de voter pour que les Martiens aient le droit d’appeler l’humanoïde de leurs enfants s’ils venaient à naître en survolant les États-Unis », a-t-il plaisanté.
Et donc, le gerrymandering reste bel et bien vivant.
Dans le monde moderne où il est poli de prétendre que tout est égal, que les deux côtés ne sont pas différents. En réalité, les républicains sont bien meilleurs en chicanerie (je veux dire sérieusement: ils ont élu le président de Donald Trump).
Les républicains réussissent beaucoup mieux à tricher, mais les démocrates refusent de jouer aux mêmes jeux. Ce qui est dommage car c’est ce qu’un grand nombre de leurs propres électeurs préféreraient. La Californie et New York pourraient probablement éliminer pratiquement tous les républicains au niveau fédéral avec un gerrymandering de style républicain, mais, pour une raison quelconque, ils refusent de le faire. Je dirais que la raison est l’inquiétude du retour politique, mais, comme nous l’avons vu avec la course en Virginie, le gerrymandering peut également résoudre ce problème.
Si la Californie et New York agissaient comme des États rouges, ils pourraient théoriquement renverser 22 sièges, assez pour laisser les républicains en minorité. Bien sûr, ils ont reçu plus de votes en 2016 mais, à ce stade, sous l’orthodoxie républicaine, c’est un détail dénué de sens. Nancy Pelosi ne devrait pas gagner son siège de 80,9%, ce qu’elle a fait. Elle devrait gagner par 52% pour s’assurer que le républicain de Californie Jeff Denham, qui a gagné par 51,7%, perd. Étant donné que les districts sont loin l’un de l’autre, est-ce contraire à l’éthique? L’éthique dans le gerrymandering? Bâillement.
Les républicains ont choisi d’embrasser leur génie très stable autoproclamé »à la Maison Blanche. Ils ont éliminé l’obstruction systématique pour nommer à la Cour suprême le sac idéologique de droite de Neil Gorsuch. Obstruction? Pas pour leurs réductions d’impôts. Ils mentent, trichent et volent sans y réfléchir. L’adoption de leurs techniques peut ne pas sembler tout à fait morale, mais c’est beaucoup mieux que l’alternative, où ils polluent la terre, vendent la classe moyenne, règnent en droits civils et permettent aux extracteurs de valeur de se déchaîner.
Millennials – lâchez vos culs et votez. Le plus jeune d’entre vous a 20 ans et le plus âgé a 37 ans. Je pense que vous avez normalement une mauvaise réputation imméritée, en grandissant dans la mini-dépression de Bush Jr. et encombré de dettes étourdissantes pour les étudiants. Mais cela ne vous empêche pas de vous décoller du canapé et, lors des prochaines élections, au bureau de vote le plus proche pour voter vos intérêts.

fusion culinaire et innovation

L’exploration culinaire est depuis longtemps un voyage fascinant qui transcende les frontières géographiques, permettant aux individus de savourer les différentes saveurs et arômes des plats étrangers. Le plaisir de découvrir des plats étrangers est une expérience unique qui non seulement émoustille les papilles gustatives, mais élargit également les horizons culturels et favorise les relations entre des personnes originaires des quatre coins du monde. Des repas de rue très chauds de l’Asie aux riches saveurs des plats européens, l’expérience de la dégustation de différents plats donne de délicieux conseils sur les pratiques, l’histoire et l’innovation de diverses cultures.

L’excitation de la découverte de plats étrangers se déroule comme un voyage immersif autour du monde. Chaque bouchée d’un plat inconnu est comme une entrée dans un nouveau royaume de sensations gustatives. Imaginez que vous vous promeniez sur les routes animées de Bangkok et que vous dégustiez la chaleur torride du Pad Thai, une quintessence de la cuisine thaïlandaise de quartier. La quantité totale de saveurs sucrées, acides, salées, chaudes et épicées crée une explosion de goûts, captivant à la fois le mangeur aventureux et le connaisseur. Aux quatre coins du monde, les délicats étages d’un croissant français nous transportent dans les élégants cafés de Paris, mettant en valeur l’art qui se cache derrière cette pâtisserie simple mais délicieuse. Chaque bouchée raconte l’histoire d’un dévouement, d’un savoir-faire et de traditions consacrées par le temps qui forment le patrimoine culinaire.

Les aliments étrangers permettent de comprendre les subtilités d’une culture. Les traditions culinaires ont tendance à être profondément liées à l’histoire, à la géographie et aux méthodes sociales d’un lieu. Par exemple, le concept japonais de « washoku » met l’accent sur l’équilibre entre les substances et la nature, reflétant le respect du pays pour son environnement. Les sushis, l’un des principaux plats japonais, incarnent cette philosophie grâce à leur présentation fraîche et minimaliste, qui met en évidence les avantages de la simplicité. En découvrant la cuisine étrangère, les gens acquièrent une compréhension beaucoup plus profonde des valeurs et des croyances qui façonnent ces pratiques culinaires, ce qui favorise un lien qui transcende les frontières.

Le plaisir de découvrir la cuisine d’outre-mer ne se limite pas aux plats traditionnels ; il implique également de découvrir les façons innovantes dont les cultures mélangent les ingrédients et les méthodes. Les plats de fusion illustrent la créativité qui naît de la convergence de différentes traditions culinaires. La popularité de la combinaison coréenne-mexicaine, que l’on retrouve dans des plats tels que les tacos au barbecue coréen, témoigne de la façon dont des saveurs contrastées peuvent harmonieusement s’associer pour donner naissance à quelque chose de totalement nouveau et excitant. Cette expérimentation culinaire repousse les limites et remet en question les idées préconçues, encourageant les chefs et les convives à faire preuve d’ouverture d’esprit et d’adaptabilité.

Le plaisir de découvrir une cuisine étrangère cultive également l’empathie et la compréhension. Lorsque nous préférons les saveurs d’un pays lointain, nous participons à une expérience partagée qui nous unit à des personnes géographiquement éloignées mais émotionnellement proches. En faisant preuve d’empathie à l’égard des substances, des techniques et des histoires qui sous-tendent ces plats, nous reconnaissons la riche tapisserie d’expériences individuelles qui composent notre communauté internationale. Cette reconnaissance conduit à une plus grande gratitude pour la diversité et à une plus grande volonté d’apprendre à connaître les autres cultures, ce qui, en fin de compte, équilibre alimentaire permet de cultiver un monde plus inclusif et plus harmonieux.

Se lancer dans une aventure culinaire pour apprendre des plats étrangers, c’est comme s’embarquer pour un voyage sensoriel. Chaque lieu possède sa propre symphonie olfactive, qui va des épices piquantes des currys indiens aux notes terreuses des pâtes italiennes infusées à la truffe. Les textures jouent également un rôle essentiel, du croquant du poulet frit coréen au velouté d’une sauce béarnaise française traditionnelle. L’attrait visuel des plats étrangers, avec leurs couleurs vives et leurs rapports artistiques, transforme le repas en une fête pour l’œil et le palais. Cette expérience multisensorielle améliore le plaisir de la découverte des aliments étrangers, en imprimant des souvenirs qui restent longtemps après la fin du repas.

Le plaisir d’identifier des aliments étrangers est un voyage captivant qui englobe le goût, la culture, le progrès et la sympathie. Cette exploration culinaire ne se contente pas de ravir les sens, elle enrichit également notre compréhension des différentes cultures du monde. Qu’il s’agisse de savourer les épices parfumées de l’Inde, les savoureux plats de rue de la Thaïlande ou les fragiles pâtisseries de la France, chaque bouchée est une invitation à découvrir, à établir des liens et à apprécier les avantages de la gastronomie mondiale. En acceptant le plaisir de découvrir des aliments étrangers, nous ne nous contentons pas de savourer de délicieuses saveurs, mais nous contribuons également à une communauté beaucoup plus interconnectée et harmonieuse.

Le Nasdaq, la technologie et les introductions en bourse sont au rendez-vous

Le Nasdaq a déjà baissé de 24%. FNB Renaissance IPO en baisse de 31%. Mais Uber et d’autres licornes prévoient des introductions en bourse record en 2019, à la dotcom-crash-debut en 2000.
La machine de battage publicitaire IPO a produit quelques sociétés très réussies et beaucoup de transferts de richesse spectaculaires du public malheureux aux premiers investisseurs vendant leurs actions. Voici deux des points saillants que j’ai couverts:
Snap SNAP, fournisseur de l’application Snapchat et des lunettes de soleil incontournables avec une caméra intégrée: les actions ont culminé à 29 $ le deuxième jour après son introduction en bourse, ce qui lui a donné une capitalisation boursière de 32 milliards de dollars. Les actions ont clôturé vendredi à 4,96 $ et ce matin à 5,24 $, en baisse de 82% par rapport au deuxième jour de négociation.
Blue Apron APRN, la crème de la crème d’environ 150 startups de kits de repas financés par VC fondée au cours des cinq dernières années, a été évaluée à 2 milliards de dollars lors de sa dernière ronde de financement en juin 2015, alors qu’elle était l’une des licornes les plus médiatisées qui changerait le monde. Puis l’enthousiasme a commencé à s’affaisser. Au moment où l’introduction en bourse a approché, le prix de l’introduction en bourse a été réduit d’une fourchette de 15 $ à 17 $ par action à 10 $ par action. Les actions ont clôturé vendredi à 0,68 $ et se négocient ce matin à 0,71 $, en baisse de 93% par rapport à son prix d’introduction en bourse.
Mais toutes les introductions en bourse ne sont pas des entreprises de technologie – bien qu’il n’y ait rien de technique »chez un fabricant de kits de repas autre que la partie la moins importante, l’application. Le PAPE ETO Renaissance IPO détient les actions de toutes les sociétés qui sont devenues publiques au cours des deux dernières années. Après deux ans, les sociétés sont retirées de l’ETF. Ses cinq principaux titres se trouvent dans l’immobilier, les produits d’assurance, la musique en streaming et la télévision par câble, ce qui ne repousse pas exactement les limites de l’invention technologique.
Ces cinq introductions en bourse n’ont pas mal fait tout cela, par rapport à la destruction en gros de Blue Apron, bien qu’elles aient toutes fortement chuté par rapport à leurs sommets récents (prix ce matin):
Vici Properties VICI, une société immobilière de casino, à 18,02 $, est en baisse de 22% par rapport à son sommet de janvier 2018 peu de temps après l’introduction en bourse.
Athene Holding ATH – une société de services de retraite qui émet, réassure et acquiert des produits d’épargne-retraite »- à 38,36 $, a baissé de 29% depuis septembre 2018.
Invitation Homes INVH, la créature de Blackstone qui a acheté plus de 48000 maisons unifamiliales par forclusion à la fin de la crise du logement, à 19,40 $, est en baisse de 18% par rapport à son sommet de septembre.
Spotify SPOT, le service de streaming musical, à 107,46 $, a plongé de 46% par rapport à son pic du 26 juillet. Il est devenu public en avril.
Altice USA ATUS, un opérateur de télévision par câble, à 15,37 $, est en baisse de 39% par rapport au sommet du lendemain de son introduction en bourse en juillet 2017.
Le Nasdaq lui-même a chuté de 24% par rapport à son sommet historique de fin août.
C’est dans cette nouvelle réalité que certaines des plus grandes startups et certains des plus gros perdants du cirque des startups tentent de décharger les actions au public en 2019 avant la fermeture de la fenêtre ». L’énorme battage médiatique autour de ces introductions en bourse a déjà commencé, avec des banquiers qui ont canalisé ce battage médiatique vers le Wall Street Journal, qui a haleté les chiffres à transférer du public aux initiés vendeurs et aux entreprises. Les chiffres excités sont vraiment énormes.
Les plus grands candidats qui sont actuellement sur le point de faire une introduction en bourse en 2019 sont:
Uber, avec une valorisation actuelle de 76 milliards de dollars, pourrait opter pour une introduction en bourse début 2019 qui la valoriserait à 120 milliards de dollars  », a rapporté le WSJ, basé sur le battage médiatique que les banquiers déploient actuellement pour maximiser leurs bonus. Toutes les actions ne seraient pas vendues lors de l’introduction en bourse, de sorte que le produit de ce scénario pourrait atteindre jusqu’à 25 milliards de dollars. »
Palantir (data mining), avec une valorisation actuelle de 20 milliards de dollars, pourrait voir une introduction en bourse de 41 milliards de dollars, selon les gens du WSJ familiers avec ses plans », qui a également averti que ces plans restaient en évolution et que, selon le WSJ, les banquiers d’investissement exagèrent souvent les valeurs IPO projetées pour gagner des affaires. »
Lyft, avec une valorisation actuelle de 15 milliards de dollars, recherche également une introduction en bourse début 2019, à plus de 15 milliards de dollars. »
Ensuite, il y a une foule d’autres grandes startups qui pourraient également se diriger vers la fenêtre IPO en 2019, selon les gens du WSJ familiers avec le sujet », mais n’ont apparemment pas encore décidé du moment. Ils comprennent:
Ant Financial Services Group (valorisation actuelle de 150 milliards de dollars), anciennement Alipay, une création d’Alibaba. Les actions d’Alibaba ont plongé de 36% depuis juin.
Didi Chuxing (valorisation actuelle de 56 milliards de dollars), la tenue de tour-grêle chinoise.
Airbnb (valorisation actuelle de 31 milliards de dollars).
Pinterest (valorisation actuelle de 12 milliards de dollars).
Slack (valorisation actuelle de 7 milliards de dollars), qui vend des outils de collaboration basés sur le cloud.
Un ensemble d’entreprises plus petites mais étroitement surveillées », telles que Postmates, des entreprises de sécurité CrowdStrike et Cloudflare, et le fournisseur de logiciels de vidéoconférence Zoom Video Communications.
Le plus haut niveau de toutes les introductions en bourse réunies en une seule année était de 44,5 milliards de dollars. Si ces introductions en bourse se réalisaient en 2019, et si ces évaluations pouvaient être retirées, Uber espérant à lui seul lever 25 milliards de dollars, le record de 2000 serait battu en grande partie.
Cela aurait du sens: l’année 2000 a été celle où la bulle Internet a commencé à s’effondrer de manière catastrophique, et tout le monde a essayé de faire sortir ses héros de la fenêtre d’introduction en bourse avant qu’elle ne se ferme pour les années à venir. Le Nasdaq, où ces introductions en bourse étaient concentrées, finirait par s’écraser à 78% par rapport à son sommet de mars 2000, avec des conséquences catastrophiques pour ceux qui avaient acheté le battage médiatique.
Le WSJ réfléchit à cette nouvelle génération d’introductions en bourse record et à la machine hype des banquiers de Wall Street:
Pour les investisseurs moyens, cela pourrait signifier qu’ils pourront enfin parier sur des sociétés comme Uber qui font désormais partie de leur vie quotidienne mais sont hors de portée, alors même que leurs valeurs estimées montent en flèche.
Lorsque toutes les introductions en bourse sont incluses, et pas seulement les introductions en bourse technologiques, 2018 a été une année record, avec 54 milliards de dollars levés. Cela comprend 47 entreprises technologiques qui n’ont levé qu’environ 18 milliards de dollars – ce qui est loin des 44,5 milliards de dollars que les introductions en bourse ont collectées en 2000. Mais 2019 va corriger cette lacune, en supposant que le battage médiatique fonctionne et que le public achète.
Le WSJ, citant Dealogic, a souligné que les introductions en bourse technologiques cette année avaient en moyenne grimpé de 28% le premier jour de négociation. Aucun mot sur ce qui s’est passé ensuite. Mais le FNB Renaissance IPO est en baisse de 31% jusqu’à présent cette année. La réalité commence après les premiers jours de trading.
Les entreprises technologiques qui étaient déjà devenues publiques ont levé 21 milliards de dollars supplémentaires en 2018 en vendant plus d’actions au public dans des offres de suivi, le plus pour des offres de suivi depuis 2000.
Ensuite, le WSJ a glissé cet avertissement infesté de réalité dans son dernier paragraphe:
Dans un autre signe d’exubérance, les investisseurs négligent les évaluations élevées et les profits maigres – ou nuls – pour tenter de tirer des rendements démesurés. Au cours des trois premiers trimestres de l’année, les quatre cinquièmes de toutes les introductions en bourse cotées aux États-Unis étaient des sociétés qui avaient perdu de l’argent au cours des 12 mois précédents…. C’est la proportion la plus élevée jamais enregistrée.
Ainsi, les trois derniers mois de 2018 plus 2019 et peut-être les années à venir s’annoncent comme une période tout aussi glorieuse pour les valeurs technologiques, les introductions en bourse et le Nasdaq que la période de mars 2000 à fin 2002.

La compétitivité européenne et les transports zéro émission

La récente proposition de la Commission européenne d’éliminer progressivement les véhicules utilisant des combustibles fossiles et d’encourager les transports à zéro émission constitue une étape importante pour l’offre écologique occidentale et les objectifs de REPowerEU. Cet essai explorera les informations contenues dans la législation recommandée, les défis rencontrés lors de sa mise en œuvre et les avantages possibles pour l’atmosphère, la santé publique et l’économie européenne.

La Commission européenne a proposé une nouvelle législation avec des objectifs ambitieux de réduction des émissions dans le secteur des transports. La proposition vise à rendre tous les nouveaux autobus urbains non polluants d’ici 2030 et à réduire les émissions des véhicules lourds, y compris les camions et les autobus longue distance, de 90 % d’ici 2040. Cet effort est une réponse à la demande croissante des zones métropolitaines et des pays occidentaux pour un transport obligatoire sans émissions, ainsi qu’aux problèmes croissants concernant les polluants provenant du secteur des voitures lourdes.

La transition vers des transports totalement dépourvus d’émissions n’est pas sans poser de problèmes, car un certain nombre d’obstacles doivent être surmontés pour atteindre les objectifs recommandés :

Progrès techniques : Actuellement, 99 % des véhicules à forte responsabilité du parc automobile de l’UE fonctionnent avec des moteurs à combustion interne alimentés par des combustibles fossiles importés. Pour atteindre l’objectif de zéro émission, il est essentiel de développer des systèmes alternatifs tels que l’électricité, l’hydrogène et d’autres sources d’énergie claires.

Amélioration des installations : La mise en place d’un système de transport zéro émission nécessite des investissements importants dans les infrastructures, comme les stations de recharge pour les voitures électriques, les stations de ravitaillement en hydrogène et les systèmes de distribution d’énergie.

Facteurs économiques : La transition vers des transports à zéro émission peut entraîner des dépenses initiales plus élevées pour les industries publiques et privées, ce qui peut constituer un obstacle important à court terme. En outre, l’impact sur les emplois dans l’industrie automobile conventionnelle et l’industrie des énergies fossiles doit être pris en compte.

Adaptation au marché : Il sera essentiel de s’assurer que la demande de véhicules à émissions nulles correspond à l’offre, comme le souligne l’avis de 11 zones métropolitaines européennes. Les fabricants doivent investir dans le développement et la production d’automobiles ne produisant absolument pas d’émissions afin de répondre à la demande croissante.

Quels que soient les défis à relever, le passage à un mode de transport sans émissions peut présenter des avantages considérables :

Impact écologique : En éliminant progressivement les automobiles fonctionnant à l’énergie fossile, l’UE peut réduire considérablement les émissions de gaz à effet de serre et d’autres contaminants, Easee ce qui permet de lutter contre le réchauffement de la planète et d’améliorer la qualité de l’air.

Bien-être de la population : La réduction de la pollution atmosphérique due aux transports entraînera une diminution des problèmes respiratoires et cardiovasculaires, ce qui se traduira par une amélioration de l’assurance maladie publique et une réduction des dépenses de santé.

Indépendance énergétique : L’UE étant actuellement fortement tributaire de l’apport de combustibles non renouvelables, le passage à des sources d’énergie claires produites au niveau national améliorera l’indépendance et la sécurité énergétiques.

Concurrence économique : Le développement et la mise en œuvre de technologies absolument sans émissions peuvent créer de nouvelles professions et stimuler l’innovation, améliorant ainsi l’économie occidentale et renforçant sa compétitivité sur le marché mondial.

Les lois proposées par la Commission occidentale pour l’élimination progressive des automobiles fonctionnant à l’énergie fossile constituent une étape essentielle pour atteindre les objectifs de l’offre écologique de l’Ouest et de REPowerEU. Même si la transition vers des transports sans émissions pose des problèmes, leur résolution peut entraîner des avantages considérables pour l’environnement, la santé publique et l’économie européenne. En s’engageant dans cette transition, l’UE démontre sa volonté de créer un environnement durable et donne l’exemple au niveau mondial en matière de lutte contre le réchauffement climatique et la dégradation de l’environnement.

Le développement de la conscience de Tarski

Probablement le meilleur logicien du XXe siècle, les emplois de Tarski sont à la base de la plupart de la philosophie actuelle de la terminologie et de la raison philosophique. À l’école de Varsovie, il a étudié les mathématiques, la biologie, la philosophie et la linguistique. Au début de sa carrière, il s’est forgé une réputation pour son travail sur les fondements des mathématiques. Mais c’est principalement pour son travail en sémantique et son sens impressionnant des faits dans les différentes langues officielles que l’influence de Tarski est la plus grande. La philosophie s’est longtemps battue pour avoir un bon profil de l’idée de vérité. Qu’est-ce qu’une phrase est vraie exactement? Typiquement, la réponse la plus populaire, étant donné qu’Aristote, est définitivement de croire quelle phrase est vraie quand elle correspond d’une manière ou d’une autre en utilisant les détails. Cependant, chercher à expliquer la notion de «correspondance» sans avoir besoin de se référer à la pensée de la vérité réelle dans la description s’est avéré notoirement difficile. Tarski résout ce problème pour les dialectes professionnels. Il était lui-même pessimiste quant à la mise en œuvre de sa stratégie dans des langues parlées normales comme l’anglais ou le français. Même ainsi, il n’a pas empêché certains philosophes de tenter d’achever une telle entreprise. Sur la base de Tarski, toute explication concise de la réalité proposée doit inclure à cause de cela toutes les équivalences du type montré à droite: ces bons exemples mettent en évidence que la chose la plus importante pour à peu près tout concept de réalité proposé, conformément à Tarski, est le distinction entre un «langage objet» et un «méta-langage». Les phrases entières, (1), (2) et (3) sont toutes des phrases rédigées dans un méta-vocabulaire, c’est-à-dire qu’elles sont utilisées pour noter et affirmer un problème d’une autre phrase. Maintenant, quand il s’agit de (3), il est vraiment clair que la méta-langue et les mots sujets sont l’anglais. Les différentes langues organiques, telles que l’anglais ou l’allemand (ou certains autres dialectes du monde entier), sont en fait leurs méta-langues particulières, une fonction particulière qui leur permet d’utiliser et d’indiquer également leurs propres phrases. Tarski appelle ces dialectes «sémantiquement fermés». Les langages formels, comme ceux que l’on trouve dans le raisonnement, les mathématiques et le codage informatique, pourraient être «sémantiquement ouverts», dans la mesure où aucune phrase ne mentionne encore une autre phrase issue des mêmes numéros de terminologie qu’une méthode correctement créée.