Monthly Archives: mai 2019

Une top rando en jetski

Dans la catégorie sports carburant à l’adrénaline, il y en a une que je n’avais encore jamais essayé : le jet ski. Jusqu’à ce que la chance se présente alors que j’étais là. La force du jet ski, c’est que l’on peut avoir du plaisir sans galérer comme un âne. L’animateur vous montre comment piloter en trois minutes et on jouit aussitôt des sensations. Toutefois, quand on veutparfaire sa technique, ça peut alors demander pas mal d’efforts. En clair, ce sport a l’avantage de plaire aux débutants qu’aux sportifs. Pour ma part, nous étions sept pilotes amateurs pour cette randonnée insolite. Nous avons enfilé nos combinaisons, nous avons rejoint nos engins respectifs, de superbes jet skis montant à 75 km/h. Le moniteur nous a montré comment piloter. Franchement, ça n’avait rien de compliqué : il y avait un cordon qui rattachait le scooter au pilotepour arrêter les gaz en cas de perte de contrôle. Du coup, pas de risque de se retrouver à l’eau et de voir le jet ski poursuivre sa route sans son pilote ! Après ça, on a enfin décollé. Je vous laisse imaginer la scène : le vent qui fouette le visage, les vagues au travers desquelles on passe, le sentiment de puissance… C’est vraiment grisant, et ce d’autant plus qu’on se sent en sécurité tout du long. Quand on prend de la vitesse, le plaisir est tel qu’il est physiquement impossible de ne pas sourire comme un dément. Décidément, c’est véritablement un sport dédié au fun. Globalement, c’est avant tout une question de souplesse. Si l’on accélère en trombes, on a des chances de finir dans l’eau. Il faut manier l’engin avec délicatesse afin de ressentir une véritable sensation de glisse sur l’eau. Mais on prend vite le coup de main et ça devient vite du fun à l’état pur. J’ai réalisé cette escapade en jet ski, mais j’ai vu qu’on peut l’effectuer un peu partout, et ce même sur la Garonne. Il y a donc de bonnes chances pour que vous ne deviez pas aller bien loin pour tenter l’aventure. Davantage d’information sur ce location de jetski à Cagnes Nice en surfant sur le site internet de l’organisateur.

Une bromance Macron-Trump

Les gens ne réalisent pas qu’il aime me tenir la main. Et c’est bien, dans la mesure du possible.  » « Je veux dire, vraiment. C’est une très bonne personne », continua Trump. « Et un dur à cuire, mais regardez, il doit l’être. Je pense qu’il va être un excellent président de la France. Mais il adore me tenir la main. » Trump a soutenu ses commentaires plus loin en janvier quand il a offert à Macron l’honneur d’être le premier dirigeant étranger invité à une visite d’Etat par l’administration Trump. La visite de trois jours, qui commence lundi, intervient à un moment où les deux partenaires travaillent au renforcement des liens entre leurs nations. Au-delà de la bravade À première vue, la relation entre Trump, un isolationniste de 71 ans qui aime les nouvelles du câble et de longues journées sur le parcours de golf, et Macron, une quarantaine d’années, un intégrationniste pro-européen qui aime citer les philosophes et vanter les mérites vertus des arts, semble peu probable. En effet, leur relation a connu des débuts difficiles lors du sommet de l’OTAN à Bruxelles en mai dernier, lorsque Macron a semblé ignorer la main tendue de Trump et a plutôt salué la chancelière allemande Angela Merkel. Lorsque les deux hommes se sont finalement serré la main, c’est l’un des virus qui a viré en ligne, aucun des deux hommes ne cédant de terrain. .test-marker .theplayer position: relative; Mais au-delà de la poignée de main et de la bravade, les deux hommes partagent un certain nombre de similitudes. Tous deux ont basé leur campagne présidentielle sur le fait d’être des étrangers et des ennemis de l’élite politique. Ils ont profité de l’insatisfaction et des désillusions du public à l’égard des principaux partis politiques pour remporter leurs élections respectives. Trump, un nabab de l’immobilier, et Macron, un ancien banquier d’affaires, sont tous deux attirés par le scellement de bonnes affaires. Et ils partagent un penchant pour le symbolisme et le sens du spectacle, qu’il s’agisse de la télé-réalité ou de la tenue de réunions au milieu de la splendeur du château de Versailles. Et les deux hommes mariés, femmes dont ils ont 24 ans: Melania Trump a presque 24 ans de moins que le président américain et Brigitte Trogneux a environ 24 ans de plus que Macron. La paire partage également des points de vue sur la politique, notamment sur l’élimination de l’ISIS et la lutte contre le terrorisme mondial. Plus récemment, Trump et Macron ont travaillé ensemble pour éliminer les capacités d’armes chimiques de la Syrie. Ce sens de la coopération potentielle a permis de définir les pourparlers à venir comme quelque peu cruciaux, non seulement en termes de politique, mais également en aidant à rétablir ce partenariat historiquement fort entre les États-Unis et la France. Prenant Trump Pour Macron, les étoiles se sont alignées. Alors que la première ministre britannique Theresa May a dû repousser les critiques concernant sa cour de Trump, Macron n’a pas jugé inutile de s’abstenir et s’est présentée comme le porte-parole de l’Europe. . Trump n’est guère populaire en France, mais Macron n’a rencontré que peu d’opposition face à sa décision de maintenir des liens étroits avec Washington et de renforcer sa position en tant qu ‘ » interprète « de Trump, ainsi que l’ont expliqué ses collaborateurs. Macron n’a pas hésité à critiquer Trump, notamment à propos de la décision américaine de se retirer de l’accord de Paris sur le climat et des commentaires désobligeants du président américain sur l’Afrique. Alors que d’autres dirigeants européens ont été réticents à l’idée de se laisser aller à Trump, Macron a réussi à couper le souffle. Mais son statut de leader européen avec peut-être le plus d’influence à la Maison-Blanche sera mis à l’épreuve cette semaine sur plusieurs fronts. Dans une interview accordée à Fox News diffusée dimanche, le président français a laissé entendre que ce serait une erreur pour Trump d’abandonner l’accord nucléaire avec l’Iran et il a exhorté son homologue à continuer à exempter l’Europe des tarifs. « Vous ne pouvez pas faire la guerre commerciale avec vos alliés », a déclaré Macron. « C’est trop compliqué de faire la guerre à tout le monde, de faire la guerre commerciale contre la Chine, la guerre commerciale contre l’Europe, la guerre en Syrie, la guerre contre l’Iran, cela ne fonctionne pas. Vous avez besoin d’alliés. » Trump a vivement critiqué cet accord, convenu par son prédécesseur, visant à limiter les ambitions nucléaires de Téhéran, le qualifiant de « gêne majeure » pour les États-Unis. Il a averti la France, la Grande-Bretagne et l’Allemagne qu’ils devaient « réparer les terribles lacunes » de l’accord d’ici le 12 mai, sinon il refuserait d’honorer les sanctions que l’Iran avait promises. Macron plaidera pour que l’Europe reste dans le plan d’action conjoint de la Commission, le nom officiel de l’accord sur le nucléaire iranien, sans parvenir à un accord susceptible de nuire aux relations entre les États-Unis et l’Union européenne. En prévision de sa visite à Washington, Macron a eu des entretiens avec Merkel. Les deux dirigeants souhaitent que Trump accorde une dérogation aux droits de douane américains sur l’acier et l’aluminium européens. Cela peut être difficile. Le mois dernier, Trump a lancé une attaque acerbe contre l’UE, affirmant que sa politique commerciale avait été « brutale » pour les États-Unis après avoir annoncé un droit de douane de 25% sur l’acier et de 10% sur les importations d’aluminium. Il a ajouté que l’UE s’était « regroupée pour battre les États-Unis dans le commerce ». Ces commentaires ont provoqué une réaction de colère en Europe, qui espère que Macron pourra changer l’esprit de Trump. Macron a confirmé? La visite de Macron à la Maison Blanche devrait constituer un test décisif pour sa stratégie Trump, ainsi que pour sa capacité à négocier pour le compte des intérêts français à l’étranger. Maron se tient à côté de Trump alors qu’ils posent pour une photo lors du G20 de Gemany en juillet dernier. Un an après son entrée en fonction, Macron a réussi à renforcer le statut de la France en tant que – comme le dit Trump – le « premier et le plus ancien allié » des États-Unis. Il est difficile de passer à côté du fait que cette nouvelle « relation spéciale » a été forgée par deux nouveaux arrivants politiques, tous deux déterminés à faire bouger le système par un culte de la personnalité. La chimie entre les deux hommes a propulsé le partenariat à un moment où Trump n’a pas réussi à créer un lien étroit avec les dirigeants britanniques ou allemands. Sous les yeux attentifs de May et Merkel, Macron a la possibilité de consolider la place de la France à la première table du gouvernement Trump et, ce faisant, de continuer à chercher à devenir le leader européen.

Une balade à la Havane

Une image plus longue et durable de La Havane, de couleur sombre et blanche, provient des images de Walker Evans. Carpentier constitue même une référence à l’un d’eux au sein de la Course après. En 1932 ou 1933, Evans se rendit à Cuba avec une commission pour montrer un guide, qui ne fut nullement affiché, appelé « l’infraction de Cuba ». Néanmoins, en trois semaines de capture, plus une grande consommation d’alcool avec Hemingway à l’hôtel Ambos Munodos, Papa soignant, Evans décrivent ses projets noirs et blancs à La Havane. Ses images ne montrent généralement pas la pauvreté de ses photographies américaines au cours de la période de Despression, mais seulement des routes truffées d’individus qui tentent de paraître beaux dans un monde désespérément déchiré. Il y a eu de véritables films noirs dans votre région, tels que l’adaptation en noir et blanc de Carol Reed de 1959 de la version novatrice de 1958, Our Man in Havana. Le scénario selon lequel l’auteur du livre, Graham Greene, a également composé le scénario tend à faire de celui-ci l’un des films exceptionnels ayant un style de vie autant que le roman dans lequel il a été réellement structuré. L’histoire est celle d’un vendeur d’aspirateurs du Royaume-Uni qui convainc les Anglais que les esquisses à l’aspirateur sont un style pour un programme d’armes dans les montagnes cubaines. Sa stratégie est d’obtenir que les Anglais le paient pour qu’il puisse envoyer sa fille au collège préparatoire en Suisse. On pourrait dire que le récit est tout simplement trop comique pour être un film noir. Fidel Castro, qui a permis à l’équipe du film de tourner à Havana, s’est plaint que cela ait créé une quantité excessive de lumière sur les agents de sécurité de Batista. Mais le scénario comporte un côté sombre, comme un professionnel des autorités torturant qui utilise une circonstance de fumée faite de peau humaine et de scènes montrant des gens tout simplement en train de se faire photographier dans les rues – de spectaculaires éclairs de coups de feu dans le noir. Le guide de Greene est fondamentalement un récit, mais, comme le suggère l’innovateur, «quelqu’un laisse constamment une peau de banane sur la scène de tout malheur». Au début, il avait établi son récit en 1938 en Estonie, mais avait constaté que l’occupation nazie il semblait y avoir probablement un environnement trop sombre sur un espionnage humoristique. À l’avenir, il a déterminé que, dans «la Havane fantastique», un film amusant pourrait se dérouler au milieu des «absurdités de votre conflit froid». Il a expliqué: «Car cela peut-il reconnaître l’urgence du capitalisme occidental traditionnel? «Mais comme Castro l’a révélé, si vous aviez été cubain, la dictature de Batista n’était pas vraiment drôle. Une kleptocratie meurtrière en étroite collaboration avec l’offensive préparée, elle a été marquée par la pauvreté misérable et la richesse étincelante. Les touristes se souviennent que la Havane de cette époque était une sorte de maison close passionnée où hommes et femmes merveilleux vêtus avec élégance et entendaient des chansons fantastiques dans des boîtes de nuit renommées. Mais Habaneros s’en souvient comme d’un lieu de terreur où naïfs, voire héroïques, tout le monde était battu, traîné sur les routes et assassiné de jour comme de nuit. En réalité, La Havane, une grande ville étendue connue pour son « divertissement », est chargée de souvenirs de toute histoire déchirante et passionnée. Des plaques marquant les endroits où les victimes de Batista ont été réduites se trouvent autour des routes dans divers quartiers. Il y a des endroits où il y avait autrefois des barracoons, dans lesquels des esclaves étaient entreposés et placés pour le divertissement de votre riche comme dans les années 1870. Un seul barracoon a résisté à la périphérie de Habana Vieja, et l’autre sur ce qui était autrefois la frange européenne de la communauté mais qui est maintenant le quartier central de Vedado. À proximité des embouchures pittoresques situées près de l’embouchure de la fente, des centres gérés par les forces armées où les propriétaires pouvaient amener leurs esclaves à la défaite ou à la mutilation par des experts de l’industrie, tandis que des passants impassibles les entendaient crier. À proximité du barracoon occidental, une plaque marque la carrière dans laquelle, en 1869, José Martí, le héros principal de l’histoire cubaine, travailla dans un gangs de séquence en tant que jeune prisonnier politique de langue espagnole. Libéré pour s’exiler en Espagne, il écrivit dans une note aux hommes et aux femmes de langue espagnole: «Douleur infinie: l’inconfort de l’emprisonnement est la douleur la plus dure et la plus désastreuse: assassiner votre cerveau, brûler l’âme, laisser derrière vous des traces être effacé. « 

La pression monte en Iran

Les Etats-Unis ont déployé une compagnie aérienne vers le Moyen-Orient pour transmettre un « sens clair et évident » à l’Iran. John Bolton, expert américain en matière de sécurité, a déclaré que ses performances « répondaient à un certain nombre d’indications et d’avertissements inquiétants et d’escalade ». La mise en œuvre dans le navire de guerre était basée sur les promesses d’assaut réalisable sur les forces américaines, a rapporté Reuters selon lequel des critiques fermes ont été faites, citant un Américain non identifié reconnu. M. Bolton a ajouté qu’ils contreraient toute agression par une « poussée implacable ». Dans une déclaration, M. Bolton a déclaré: « Les États-Unis déploient l’USS Abraham Lincoln, fournisseur de services, avec une mission de bombardier dans la région de l’Ordre central américain, afin de donner un sens indiscutable à la routine iranienne voulant que toute attaque contre les intérêts des États-Unis sur ceux de nos alliés seront probablement satisfaits de la force implacable.  » Il a ajouté: « Les Etats-Unis ne cherchent pas la guerre avec tout le programme iranien. Mais nous sommes complètement équipés pour répondre à toute grève, qu’elle soit ou non représentée par procuration, par le Corps islamique de gardes innovants ou par des causes iraniennes normales. » Le navire de croisière était déjà dans l’Union européenne pour des jeux de bataille avec nos alliés qui se sont produits depuis la fin avril. Jusqu’à présent, les Américains ont donné peu de détails sur les prétendues actions iraniennes qui ont motivé cet avertissement, ni sur les États-Unis. déploiements en cours. Il n’est pas rare qu’un fournisseur de services d’avion et son équipe de combat particulière soient amenés dans le Golfe. Renforcer les ressources en oxygène dépendant des propriétés des États-Unis dans la région, bien que brièvement, constitue un régime moins thérapeutique. Washington s’est lui-même transformé en tenant compte de la pression sur l’Iran ces derniers mois; désigner le corps de défense de pointe iranien comme une entité terroriste; durcissement des sanctions sur les gaz, etc. Bien que l’objectif de l’administration Trump ne soit pas clair. Ses porte-parole réclament qu’ils aient tendance à ne pas vouloir de conflit avec l’Iran, mais ils peuvent aussi rarement couvrir leur passion pour le changement de régime à Téhéran. Alors, est-ce que cette décision des États-Unis est une tentative de garantir le statu quo actuel mal à l’aise? Ou est-ce un effort pour rendre l’attache encore plus ferme? De nombreux détracteurs de l’administration s’inquiètent de la création d’un rythme de tambour en direction d’un conflit qui, ils s’inquiètent, pourrait peut-être éclater de manière accidentelle ou par conception et style. Ce n’est pas au premier essai que l’USS Abraham Lincoln s’est habitué au Golfe. Ce déploiement intervient dans un contexte de tensions croissantes entre les Etats-Unis et l’Iran. L’année dernière, le chef de la direction, Donald Trump, s’est retiré unilatéralement de votre paquet nucléaire historique. Les États-Unis et d’autres pays ont convenu d’un accord avec l’Iran en 2015. En vertu de l’accord, l’Iran avait consenti à limiter ses actions nucléaires vulnérables et à autoriser des inspecteurs à l’étranger en échange d’un allégement des sanctions. . Et récemment, la propriété blanche a déclaré qu’elle mettrait fin aux exemptions de sanctions pour plusieurs pays du monde – l’Inde, le Japon et la Chine, la Corée du Sud et la volaille – qui ont néanmoins obtenu des huiles essentielles iraniennes. Parallèlement, les États-Unis ont également pénalisé le corps de défense innovant professionnel de l’Iran, le qualifiant de classe terroriste étrangère. Les sanctions ont entraîné un net ralentissement de l’ensemble de l’économie iranienne, faisant monter le prix de son argent à des bas, multipliant par quatre sa hausse annuelle du coût de la vie, poussant une voiture de côté des commerçants étrangers et provoquant des manifestations.