La patrouille anti-rats continuera à se défendre parallèlement à une bande de bande de 18 milles entre la région canadienne de l’Alberta et son voisin particulier, la Saskatchewan. Un équipage composé de 8 hommes ou femmes, muni de poison et de fusils de chasse, recherche quotidiennement pratiquement tout signe des envahisseurs par les rongeurs. La patrouille des rats de l’Alberta évalue plus de 3 000 fermes par an, mais elle ne voit presque jamais un véritable rat. L’Alberta compte 4,3 millions de personnes, dont 255 000 rectangulaires, sans aucun groupe de rats, le petit nombre errant qui se rend chaque année dans la zone de mise à mort. Depuis 1950, un programme rigoureusement d’exclusion et d’extermination a permis à la région de rester exempte de rats. Aucun endroit différent sur la planète ne s’approche; les seules autres zones exemptes de rats sont les petites îles isolées, par exemple le territoire lointain du Royaume-Uni, To the Georgia sud. L’aide, l’éducation et l’apprentissage communautaires sont déjà la clé du succès de l’Alberta. Les populations locales utilisent des lignes directes pour signaler toute indication de souris, bien que de fausses alarmes soient courantes. Les programmes des établissements renseignent les jeunes sur les signes avant-coureurs des envahisseurs. La rétention des rats de compagnie est bloquée et pourrait vous rapporter une excellente somme d’environ 4 000 $. On estime que, chaque année, dans le monde entier, souris et rats entraînent des problèmes de près de 20 milliards de dollars et éliminent environ un cinquième de la source mondiale de produits alimentaires. Ce ne sont pas seulement des mordus enthousiastes. Ce sont aussi des urinateurs prolifiques et des produits à base de pipi de rat. On pense que les rats se font distribuer la couleur noire de la mort dans le centre des âges, alors qu’ils font d’autres virus de nos jours. Les rats sont arrivés au Canada au 18e siècle, mais la solitude géographique empêchait les envahisseurs de frapper l’Alberta pendant deux siècles, jusqu’à ce que les premiers signes des souris commencent à paraître dépassés en Saskatchewan juste après l’arrivée de la seconde guerre. C’est à ce moment que l’ordre du jour contre-rat de l’Alberta est né. Il ne s’agissait pas du tout premier programme de ce type: la participation du grand public à la lutte antiparasitaire a explosé à partir du XXe siècle, parallèlement à la diffusion de l’idée de la maladie et à la motivation du temps de guerre. Au Vietnam, par exemple, le développement du réseau d’égouts de Hanoi lors de la transformation du XXe siècle a entraîné une augmentation du nombre de rats; En 1902, les gouvernements coloniaux français commencèrent à verser une prime pour leurs carcasses. C’est certainement le cas, jusqu’à ce qu’il comprît enfin que les résidents les élevaient pour en tirer profit. Entre-temps, à Washington, D.C., un système de 1917 s’est efforcé d’effacer les chatons et les chats sauvages, ainsi que le soutien passionné de la communauté Cat Fanciers ’Relationship. «Ils ont trouvé les chatons d’allée comme une menace pour leurs chatons précieux», a expliqué Hayden Wetzel, un historien du quartier. « C’était la guerre, alors la devise était: » Tuez un félin pour nation »
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