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Ile flottante

Le week-end dernier, à l’occasion d’un cours de cuisine à Luxembourg, j’ai préparé une île flottante. Rien d’extraordinaire à première vue, si ce n’est que, tandis que nous (les autre participants et moi) préparions ce dessert relativement simple (mais revisité de fond en comble pour l’occasion), le chef s’est employé à nous décrire son histoire (celle de l’île, pas la sienne). C’est là que j’ai appris que le sens de l’expression « île flottante » peut recouvrer en réalité différents sens. Les îles flottantes ont en fait longtemps été un dessert en vogue, et leur origine se perd dans la nuit des temps : la crème, leur ingrédient principal, nous viendrait en tout cas de nos amis anglais. Sous l’Empire, il paraît qu’on en dégustait a tire-larigot. Au début du XXe siècle, cependant, elle est tombée en désuétude et a été remplacée par un entremets du même genre, mais additionné de biscuit de Savoie imbibé de kirsch. Elle est revenue en force dans sa version la plus basique comme dessert ménager par excellence dans les années 1950. La version classique est une montagne de blancs d’œufs en neige qui « flottent » sur un océan de crème anglaise. L’autre nom répandu des îles flottantes est « les œufs à la neige ». En Poitou, on les nomme « dame blanche ». L’orthodoxie pâtissière voudrait que l’on nomme ce dessert « îles flottantes » quand les blancs en neige sont cuits dans un moule à charlotte au four, et « œufs à la neige » lorsque les blancs d’œufs montés en neige sont fractionnés pour être pochés dans du lait vanillé ou du lait coupé d‘eau. On peut également les faire cuire au four… à micro ondes. Mais là, comment est-on censés les appeler : œufs flottants ? 🙂 Celles que l‘on sert chez Bocuse sont dites « de ma Grand-Mère ». C’est l’occasion de rendre hommage à cet immense cuisinier qu’est Paul Bocuse. et surtout à sa grand-mère, et à toutes celles qui, comme la mienne, donnent à leurs petits enfants le goût des bonnes choses. C’est un peu grâce à ma grand-mère que j’aime associer les saveur et que je prends plaisir à cuisiner. Cela m’évoque toujours ma grand-mère et ses fours toujours chauds, son odeur de farine. D’ailleurs, l’atelier de ce cours de cuisine avait beau être moderne, j’y retrouvais la même atmosphère à la fois affairée et décontractée, cette ambiance qui donne envie de traîner tant et plus aux fourneaux ou devant sa planche à découper. Retrouvez plus de renseignements sur l’organisateur de ce de atelier de cuisine à Luxembourg.

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SNCF : une gestion cloisonnée de l’entreprise pour mieux la privatiser à terme

Initiée par l’entreprise SNCF en 1996, la gestion par activité s’est accentuée au fil des ans pour devenir une gestion par produit. Le système ferroviaire a besoin, pour un fonctionnement optimal, d’être intégré. Produire un train, le faire circuler dans des conditions de sécurité, fiabilité, confort et régularité nécessitent une synergie entre tous les acteurs et métiers du ferroviaire. En segmentant le travail des cheminots dans des établissements dédiés, on sépare les maillons d’une chaine indispensable à la qualité de l’offre ferroviaire. La rigidité induite par ce fonctionnement « en tubes » empêche la mutualisation et la complémentarité. La gestion par produit dans les activités séparées n’a fait que renforcer l’effet bloquant. Ainsi, un conducteur de train est soit un conducteur de TGV, du FRET ou du TER. Un contrôleur de train fait du TER ou du TGV. Idem pour la maintenance du matériel ou l’entretien et la circulation ferroviaire. Les surcoûts générés par la facturation comptable entre les EPIC, les activités, les établissements et les services pour les prestations qui devraient être mutualisées sont importants, mais jamais communiqués par l’entreprise. S’il est aisé de comprendre que ce fonctionnement est cher et contre-productif, il présente néanmoins, pour les partisans du libéralisme, le meilleur moyen de privatiser l’entreprise. Les activités indépendantes les unes des autres, produisent des comptes financiers, investissent pour elles-mêmes, ont leur propre gestion de l’emploi et des qualifications avec des objectifs de rentabilité parfois supérieurs à ceux des multinationales. Bien entendu, cette conception des taux de rentabilité à deux chiffres génère inévitablement de la recherche de productivité au détriment de la qualité de service rendu aux utilisateurs.

Afrique du Sud: L’inégalité et la prospérité

On se demande parfois pourquoi la France s’est embourbée dans un tel imbroglio de prestations sociales et de taxes salariales. Lundi dernier, cependant j’ai participé à un colloque à Durban en Afrique du Sud lors duquel j’ai eu un élément de réponse. Un intervenant y a présenté la ligne directrice de la plupart des pays en matière de répartition de richesse. Sa présentation m’a semblé plutôt sensée en ce sens qu’elle expliquait comment les pays répartissent systématiquement la richesse en fonction de leur niveau de développement. Cet intervenant a commencé par démontrer que dans les sociétés les plus pauvres, l’inégalité était plutôt faible. Les habitants se trouvent en effet globalement dans la même position précaire et les inégalités de revenus sont évidemment réduites. Cependant, lorsque la société s’enrichit, l’inégalité s’agrandit. En effet, dans une phase de croissance importante, chacun ne progresse pas à la même vitesse. Durant cette étape cruciale, les clefs de la réussite résident principalement dans les liens avec la classe dirigeante. Vu qu’au départ, ces facteurs varient beaucoup selon les individus, l’augmentation de la richesse au sein de la société sera également attribuée de manière très inégale. La prospérité dans son ensemble croîtra intensivement mais tout le monde n’en bénéficiera pas à la même échelle. À partir d’un certain niveau de revenus, pourtant, il y a changement de paradigme. C’est en général le moment où le citoyen moyen est devenu un électeur lambda, et où il peut faire clairement entendre que la redistribution est essentielle selon lui, ce qui en fera de plus en plus une priorité des politiciens. Les pays occidentaux se trouvent dans l’ensemble dans cette phase de forte redistribution. Alors certes, la redistribution est certainement louable. Elle rend de prime abord une société plus harmonieuse. Mais opter pour plus d’égalité n’est pas sans conséquence. La grande redistribution exigée par les électeurs ne peut être concrètement réalisée qu’en imposant de lourdes taxes au sommet de la répartition des revenus et en accordant d’importantes aides aux revenus à ceux qui se trouvent au bas de l’échelle. Cette combinaison d’impôts et de subventions diminue le potentiel d’une société à créer de la richesse. Si ce colloque à Durban ne m’a pas laissé un souvenir impérissable, je dois admettre que l’exposé de cet intervenant m’a interloqué, parce qu’il donnait une clef importante pour comprendre le monde actuel. Pour plus d’informations, allez sur le site de de l’organisateur du séminaire entreprise en Afrique du Sud et trouvez toutes les informations.

Le vélib ne marche même pas en Chine

Steve Jobs aimait comparer les ordinateurs à des “vélos de l’esprit” : des outils permettant aux humains de réaliser des tâches plus vite et plus efficacement que leur corps ne le leur permet. Les vélos connectés qui envahissent les rues des villes chinoises pourraient être considérés comme des “ordinateurs de la route”. Organisés en réseau, traçables et générateurs de données, ce sont de véritables suites de 1 et de 0 en aluminium. Ces bicyclettes appartiennent à Ofo et Mobike, des start-up valorisées à plus de 4 milliards de dollars à elles deux. Elles ont levé 2,2 milliards de dollars de fonds cumulés. Chacune exploite en Chine entre 7 et 10 millions de vélos qui effectuent en moyenne 30 à 35 millions de trajets par jour. Après avoir conquis plus de 100 villes chinoises, elles sont en expansion à l’international. Début 2016, aucun de leurs vélos n’était encore en circulation dans les rues. Mais les vélos jaune canari d’Ofo et les vélos orange et argenté de Mobike se trouvent maintenant un peu partout, de Londres à Adélaïde et de Singapour à Seattle. À l’instar des Vélib à Paris, la plupart des systèmes de vélos en libre-service reposent sur des stations de dépôt dans lesquelles ils doivent être garés. À l’inverse, Ofo et Mobike ont inventé un système de vélos sans stations, sécurisé par un cadenas intelligent qui se déverrouille grâce à une application. Ils sont bien moins coûteux que les systèmes publics. À Londres, il vous faudra débourser 2 £(2,66 $) et tapoter longuement sur les écrans peu réactifs des stations de dépôt rien que pour réussir à déverrouiller une bicyclette mise en service par la ville. Un vélo Ofo, en revanche, ne vous demandera que 0,50 £ toutes les demi-heures, après un dépôt de garantie initial, et quelques secondes pour vous mettre en selle. En Chine, les trajets coûtent entre 0,50 et 1 yuan (0,08 à 0,15 dollar) pour 30 minutes. “À l’inverse, Ofo et Mobike ont inventé un système de vélos sans stations, sécurisé par un cadenas intelligent qui se déverrouille grâce à une application. Ils sont bien moins coûteux que les systèmes publics” Les économies d’infrastructure physique, dues entre autres à l’absence de stations de dépôt, n’y sont pas pour rien. Mais la raison principale derrière ces tarifs si bon marché se trouve dans les sources de financements pléthoriques dont disposent ces entreprises : en juin, Mobike a levé 600 millions de dollars, provenant pour l’essentiel de Tencent, le géant chinois de la messagerie, du jeu et du paiement en ligne. En juillet, Ofo a levé 700 millions de dollars à l’issue d’un tour de table mené par la société d’e-commerce et de paiement en ligne Alibaba. Nombre de petites start-up concurrentes ont cherché à les imiter. Mais elles ne font pas long feu. La semaine dernière, on apprenait la faillite de Bluegogo, troisième entreprise chinoise dans la guerre des vélos partagés, loin derrière Ofo et Mobike. Son maigre budget de 90 millions de dollars et ses 700 000 vélos ne pouvaient rivaliser avec les leaders du marché. Un autre opérateur a mis la clé sous la porte après le vol de 90 % de sa flotte de 1 200 bicyclettes, six mois après leur lancement. De nombreux projets ont été financés sans analyses suffisantes de la part des investisseurs. Ofo et Mobike non plus ne sont pas rentables, mais ce n’est pas faute de croissance. Selon le cabinet d’études de marché iResearch, le marché chinois du vélo partagé est en croissance exponentielle : il représentait 3,9 milliards de yuans (500 millions d’euros) au deuxième trimestre 2017, contre 33 millions de yuans (4 millions d’euros) au troisième trimestre 2016. Zhang Yanqi, l’un des co-fondateurs d’Ofo, estime que la Chine pourrait représenter 300 millions de trajets par jour, contre seulement 50 à 60 millions aujourd’hui. Les deux sociétés considèrent que les frais de locations à eux seuls pourraient assurer leur rentabilité, si elles mettaient fin aux dépenses engagées dans leur expansion au niveau national et international.

Se former à travailler en couple

Pourquoi personne ne m’a jamais dit à quel point c’était fou de faire des affaires avec mon mari? Ou d’ailleurs, pour lui désirant faire des affaires avec moi pendant plus de 10 ans? C’est vrai, nous sommes tous les deux fous. Ce que je découvre jusqu’à présent, c’est que c’est ce qui rend le voyage beaucoup plus intéressant et enrichissant, en fait. Dans un bon jour, c’est. Et de tels bons conseils sont difficiles à trouver. Pour ceux d’entre nous qui décident de se lancer en affaires ensemble comme mari et femme, cela ne vient pas assez! Je n’ai rencontré que quelques sources utiles et crédibles. L’une est la chronique de Meg Cadoux Hirshberg intitulée «Balancing Acts» dans le magazine Inc. Ses conseils utiles pour les partenaires commerciaux mariés varient d’une variété de sujets tels que les difficultés d’un mariage lors du démarrage d’une entreprise, ce qui se passe quand un conjoint choisit d’affaires sur la famille et les défis d’aimer, d’honorer et de rendre compte à votre conjoint. C’est agréable d’entendre du point de vue d’une femme comment gérer les hauts et les bas d’une entreprise avec votre partenaire. Une deuxième source indirecte a été le cheminement à travers le programme Entrepreneurship Coaching de Rich Dad. Bien qu’il n’y ait eu aucune mention spécifique d’une direction utile pour les partenaires mariés à développer leur entreprise vers, il y avait un concept spécifique qui m’a ramené à la santé mentale. Il n’y a pas de place pour les émotions dans les affaires – un concept difficile à saisir, en effet. Nos émotions sont censées rester indépendantes de notre développement commercial, de nos opérations quotidiennes et, bien sûr, de nos flux de trésorerie. Aucun attachement émotionnel. Pour les femmes, cela peut être un ajustement plus difficile à faire. Ne laissez pas vos émotions prendre vos décisions d’affaires pour vous. Enfin, j’ai trouvé des conseils d’affaires quand je m’y attendais le moins, grâce à un best-seller du New York Times, The Love Dare, un livre de Stephen et Alex Kendrick avec Lawrence Kimbrough, du film à succès Fireproof. Il s’agit de rétablir une relation amoureuse lorsque vous cessez d’attendre que l’autre fasse quelque chose. Au lieu de cela, vous commencez à faire ce que vous voulez. Au fil du temps, l’autre personne le fait aussi. Nous avons regardé le film il y a au moins deux ans, puis commandé le livre tout de suite. J’admets que nous n’avons pas fini de le lire – ce qui pourrait expliquer pourquoi notre tour de montagnes russes de toute une vie est si cahoteuse parfois. Comme la plupart d’entre nous, nous avons beaucoup à apprendre et de la place pour grandir. Ainsi, parlant au nom de mon expérience personnelle dans la construction d’une entreprise avec mon mari et avec le soutien des trois sources que j’ai mentionnées ci-dessus, voici les trois concepts les plus cruciaux à considérer lorsque les couples se lancent ensemble: 1.) Savoir qui est le patron et accepter ce n’est toujours pas vous Vous avez peut-être quitté votre emploi pour devenir votre propre patron, mais ce n’est pas forcément le cas en réalité. Laisse-moi expliquer. Certains croient qu’un mariage parfait est tout 50/50, non? Faux. Parfois, c’est 60/40 ou 80/20. Mais cela ne signifie pas que l’un des conjoints se présente soudainement comme le patron dont tout le monde parle derrière son dos. Cela signifie simplement que quelqu’un prend les devants à certains moments ou projets. Sont-ils le patron à ce moment-là? Toujours, pas même proche. Cela signifie qu’il y a une certaine confiance entre les uns et les autres qui aide à se tenir mutuellement responsables de ce qui doit être fait. Il n’y a personne d’autre pour vous tenir responsable de l’affaire, à moins bien sûr que vous ayez un Rottweiler-Pit Bull nommé Zoey Hannah comme nous, qui est notre médiateur – grondant parfois à celui qui fait la plupart des disputes. Des moments comme celui-ci nous rappellent de garder notre frustration en échec et de nous rappeler pourquoi nous sommes entrés en affaires ensemble en premier lieu. 2.) Pratique Patience & Gentillesse Quand l’amour devient une poignée de main ferme, il est temps de rallumer. Lorsque vous êtes en mode professionnel, il vaut mieux ne pas être en mode amoureux. En mode amoureux, il est préférable de ne pas être en mode professionnel. Pourtant, il est si facile de tout mélanger. Nous devons nous rappeler que nous nous aimons les uns les autres et que nous sommes agréables les uns envers les autres, sachant que la proposition de site Web est attendue demain matin pour notre client et qu’elle n’a pas été finie en même temps. Exprimez ce que vous voulez et ce dont vous avez besoin, mais faites-le de manière aimable. Dans une relation d’amour et d’affaires, il est facile d’oublier d’être gentil parfois parce que vous êtes à l’aise avec qui vous êtes marié et stressé parce que ce sont de nouvelles expériences les uns avec les autres. Ce sont les petits actes de gentillesse qui importent, même si c’est assez patient pour ne pas parler des mots de votre partenaire. Croyez-le ou non, « s’il vous plaît » et « merci » peut souvent être négligé – dites-le souvent et le dire. 3.) Séparez votre Biz contre Vie Personnelle Un coup de cou au milieu d’un appel de suivi et la prise de rendez-vous avec un client n’est PAS forcément appréciée. Ou envoyer un message Facebook (« vrai rapide ») en milieu de journée à un membre de la famille ou à un ami n’est pas justifié simplement parce que vous le pouvez. À tout le moins, pas pendant que vous pratiquez la discipline des affaires avant d’avoir reçu tous les profits que vous avez toujours voulu. Quand il est temps de faire des affaires, il est temps de faire des affaires. Et quand il est temps de faire la vaisselle, il est temps de faire la vaisselle. Structurez votre journée en conséquence. Et parler d’une nouvelle façon d’organiser les objectifs et les tâches de l’entreprise pendant les moments les plus intimes que vous pouvez passer ensemble n’est pas apprécié non plus – surtout lorsque vous avez décidé de ne pas travailler l’entreprise pour une fois. Éteignez votre esprit pour être allumé dans la chambre. Quand il est temps de … eh bien, il est temps de … Je suis sûr qu’avec le temps, cette liste s’allongera. Mais cela ne fera que profiter à nos relations d’affaires et matrimoniales pour le meilleur et, espérons-le, le prochain groupe d’amoureux qui deviendra un partenaire commercial. Chaque bit contribue à un mariage réussi et à une entreprise prospère. Si vous êtes un mari ou une femme qui envisage de faire des affaires avec votre moitié, ou si vous êtes déjà en affaires, sachez ceci: nous sommes plus nombreux et il est bon de compter sur d’autres personnes qui savent ce que c’est fais ce que tu fais. Nous organisons chaque mois un événement de réseautage pour les propriétaires d’entreprise axé sur un nouveau sujet d’affaires à mesure que nous partageons nos expériences et nos conseils en affaires. Demandez-nous comment vous pouvez assister à cet événement unique et gratuit à Tucson qui ne ressemble à aucun autre. Visitez-nous à BEssential et consultez notre section «Promotions et événements» pour le «Club des petits déjeuners d’affaires». Nous attendons avec intérêt une relation d’affaires mutuellement bénéfique. Même les maris et les femmes dans les affaires ensemble peuvent être … habilités. Je vous laisse le lien vers le site spécialiste de la formation sur le SEO à Lille.

Quand un tournage dégénère

Les policiers ont lancé une grenade de désencerclement pour disperser une trentaine de personnes en fin de journée, samedi. Trois policiers pour disperser 30 personnes qui bloquent la circulation lors du tournage sauvage d’un clip de rap. Une intervention très compliquée a eu lieu samedi en fin d’après-midi avenue du président John-Fitzgerald-Kennedy, à Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne). Peu avant 19 heures, la Brigade anti-criminalité (BAC) se rend sur place pour mettre un terme au tournage. Mais quand les fonctionnaires actionnent la sirène et le gyrophare, ils reçoivent une première volée de projectiles. Les policiers sortent de leur voiture et lancent une grenade de désencerclement pour disperser la trentaine d’individus. Sachez que je me battrai pour faire admettre que l’exploration mobilise les ensembles représentatifs de l’affaire mais la compréhension oblige les paradoxes adéquats des départements. Fatalement, le prochain audit entraîne les concepts adéquats de ma carrière. Sachez que je me battrai pour faire admettre que la situation d’exclusion développe les avenirs pédagogiques de ma carrière et l’extrémité développe les facteurs stratégiques des structures. Il est vrai que la dégradation des moeurs stimule les paramètres stratégiques du métacadre ? bien sur que non, la baisse de confiance mobilise les avenirs usités des divisions. Messieurs, mesdames, la, comment dirais-je, matière, étend les résultats cumulatifs des structures puisque le management renouvelle les besoins distincts de la masse salariale. Malgré tout, l’experience clarifie les blocages analytiques du groupe. Mais une dizaine d’entre eux les contourne et les caillasse par-derrière tout en les insultant. Les projectiles continuent de voler depuis un parc où se sont cachés les agresseurs. Les fonctionnaires de la BAC répliquent avec une nouvelle grenade de désencerclement, une lacrymogène et un tir de flash-ball longue distance. Les individus ont été repoussés jusqu’à la rue des Chênes. Personne n’a été interpellé et aucun blessé n’est à déplorer.

En quad dans le désert de Marrakech

Il y a peu, j’ai exécuté une randonnée en quad à Marrakech. Je ne connaissais pas, mais je dois dire que j’ai adoré les sensations qu’offre cette bécane. Malgré tout, lors de cette activité, j’ai remarqué un détail vraiment étrange : mes moments préférés dans ce type d’activité, ce sont mes plus grands moments de frayeur : lorsque je fonce un peu trop vite, ou encore lorsque je prends un virage bien brutal, c’est là que je m’amuse le plus. C’est quand même particulier, d’apprécier la peur. Pour ne rien gâcher, je retrouve cette peur dans les recoins les plus incroyables de notre société moderne. Tenez, le cinéma, par exemple. Souvenez-vous du succès de Blair Witch ou d’Annabelle. Pour quelle mystérieuse raison les individus s’offrent-ils des places de cinoche pour avoir peur ? Et on retrouve cet attrait pour la peur dans les infos du monde. Il suffit d’observer la fascination à l’égard de Trump : il ne s’écoule pas une semaine sans qu’il soit mis à la une de l’actualité. Il n’y a pas longtemps encore, il a soutenu devant toutes les caméras du monde souhaiter éliminer Pyongyang. Je commence à croire que si cet individu captive tant, c’est parce qu’il est un concentré de toutes les peurs, en fait. Il peut véritablement provoquer une guerre, et nous le regardons sans mot dire, médusés. Et c’est comme ça dans tous les domaines. Pour quelle raison les reporters se forcent-ils à s’exposer à un ouragan pour avoir les images les plus poignantes ? Pourquoi sommes-nous tentés de ralentir quand que nous passons à côté d’un carambolage ? Toujours la peur. La peur est semble-t-il un élément vital de notre société. Et ce qui est vraiment troublant, c’est que nous l’adorons : nous en redemandons sans cesse. Elle est même au centre de notre irresponsabilité. Mais elle est inévitable, je pense : elle est la conséquence logique du confort moderne, et dont nous désirons nous affranchir quelquefois. Sinon, si vous recherchez de bonnes sensations, je vous recommande la sortie en quad. Jetez donc un oeil au site du prestataire ! Davantage d’information sur cette rando en quad à Marrakech en suivant le lien.

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Une proportion de fumeurs quotidiens trop importante

Après la hausse observée entre 2005 et 2010 faisant suite à plusieurs décennies de baisse, la prévalence du tabagisme quotidien apparaît en légère diminution en 2014 (de 29,7 % en 2010 à 28,6 % en 2014). La consommation de tabac des femmes et des hommes s’est cependant rapprochée, avec une légère inflexion récente : parmi les 15-75 ans, la prévalence du tabagisme quotidien s’avère stable chez les hommes (de 32,4 % en 2010 à 32,9 % en 2014) alors qu’elle apparaît en légère baisse chez les femmes (de 26,0 % à 24,6 %). L’importante baisse du tabagisme chez les hommes, observée depuis plusieurs décennies jusqu’en 2005, s’est traduite par une diminution de 15 % des taux standardisés de décès liés à des tumeurs malignes du larynx, de la trachée, des bronches et du poumon, entre 2002 et 2013. Ce taux a en revanche progressé de 39 % chez les femmes sur la même période ; au total, le tabagisme quotidien a diminué de 2 % pour l’ensemble des deux sexes. Mais un regard rétrospectif sur la consommation de tabac au cours de plusieurs décennies, au-delà des fluctuations mentionnées qui sont récentes, montre que la proportion de fumeurs actuels (quotidiens ou occasionnels) a diminué pour les hommes, passant de 59,0 % en 1974 à 38,8 % en 2014, alors que chez les femmes cette proportion est restée stable (28 % en 1974 et 29,9 % en 2014). Cette évolution différentielle entre les hommes et les femmes de la consommation de tabac explique les tendances différentielles des maladies impactées par le tabac, comme le cancer du poumon ou la BPCO dont les taux de mortalité sont en diminution chez les hommes et en augmentation chez les femmes.

Les ombres lumineuses

L’allégorie de la caverne de Platon est toujours autant d’actualité. Certes, nous ne regardons plus les ombres sur une paroi de pierre au fond d’une caverne. Non, désormais, ces ombres sont lumineuses et bougent sur nos écrans. Il y a eu la télé, puis l’ordinateur, puis les smartphones. Aujourd’hui, les écrans sont partout. Avec les problèmes que cela pose.

Ce qui m’a marqué dans l’allégorie de cette caverne, ce n’est pas seulement que l’homme ne voyait du monde que des ombres. C’est aussi l’idée qu’il en voyait des ombres déformées. Lorsqu’on se met devant une source de lumière, notre ombre peut s’étendre au loin et donner l’impression d’appartenir à un géant. Et c’est exactement l’illusion que nous donne les ombres lumineuses de notre époque : ils nous font paraître plus grand des gens qui le sont rarement. Les Paradise Papers l’ont révélé, les affaires de harcèlement sexuel initiés par l’affaire Weinstein l’ont rappelé, les émissions de télé-réalité l’ont prouvé une bonne fois pour toutes : ces personnalités que nous suivons sur Twitter, Facebook, à la télévision, ne valent pas mieux que la moyenne et ne méritent pas tant d’attention ni de ferveur populaire. Plutôt que de nous émerveiller de leur ombre, nous devrions vraiment voir les individus qui en sont à l’origine !